Voici plusieurs semaines que la RTS J’ai 1 ere diffuse, chaque samedi jour apres les nouvelles, « une minute d’une vie de J.C. »
Et voici plusieurs semaines que je m’astreins a regarder sans avoir reussi a percer la raison d’etre de une telle minute, un tantinet triste, tres plate, denuee d’humour, parfois vulgaire.
A lequel pourra bien etre destinee une telle emission ? Doit-elle juste servir de gagne-pain a Sep, le dessinateur ?
Elle reste certes la preuve que le Dieu des chretiens n’est gui?re un Dieu susceptible, mais De quelle fai§on expliquer votre four pendant toute votre periode automnale approchant Noel ? Il faudra etre bon connaisseur de le histoire biblique pour saisir plus que pouic de ces brefs echanges de J.-C. avec Pierre, Jacques ou Jean, Dieu, ou Sophie Madeleine.
Je caresse l’espoir qu’une collection d’emissions « faut nullement croire », en 2022, seront consacrees au decryptage de une telle minute insipide, qui se crois peut-etre un brin provocante, qui sent l’utilisation d’un fond de tiroir voiture, d’un petit reliquat d’argent religieux a Realiser disparaitre encore en 2021.
J’avoue avoir rarement vu une emission plus ratee. Et n’avoir jamais non plus ete aussi incapable de deviner a qui elle peut beaucoup etre destinee. Neanmoins, c’est la peut-etre une enigme amusante!
Si c’est vrai, c’est criminel
« Officiellement, ce ne sont que des > qui incitent les hopitaux a ne plus bouleverser un fonctionnement habituel au detriment des patients non covid. Mais en aparte, l’on murmure que des motifs economiques dictent aussi votre politique ».
Le Temps de votre 7 decembre (p. 3 « Pourquoi les hopitaux hesitent a ouvrir des lits covid ») revele que c’est une bisbille financiere entre la Confederation et les cantons qui semblerait a l’origine du manque de lits covid.
Si c’est bon, si, aussi que de professionnels des pandemies annoncaient des 3 e , 4 e 5 e vagues, donc incitaient les hopitaux a s’y preparer, ces derniers non juste n‘ont pas grand chose fait Afin de retenir ou tomber sur du personnel mais, sous pretexte de mauvais defraiement par la Confederation, ont strictement maintenu bas le nombre de lits de soins intensifs ; si les mesures liberticides anti-covid continuent d’etre dictees essentiellement par la crainte en surcharge des hopitaux, alors ils font, pardon, des esprits criminels. On ne met gui?re en danger la scolarite et la formation des jeunes, on ne conduit jamais a une attitude suicidaire des centaines d’adolescent desesperes, on ne tue pas le quotidien culturelle, l’equilibre physique d’une population empechee de faire du sport, l’economie d’un pays, parce qu’il y a un bras de fer financier entre 2 entites politiques alors que l’une de ces entites, en particulier, n’hesite nullement a voter des milliards Afin de compenser les dommages economiques que cause le entetement.
Et pendant votre temps, moyen du 12 octobre 2021 (p. 12) a pu titrer « L’insolente sante des fournisseurs suisses de l’industrie pharma » et publier : « On sait a quel point les industries chimiques et pharmaceutiques paraissent cruciales dans la production de richesse helvetique puisqu’elles representant environ la moitie de nos exportations de marchandises contre moins de 15 % pour le secteur de l’horlogerie ainsi que la bijouterie, comme ».
Y a-t-il un lien entre le chantage au manque de lits d’hopital, la vaccination bientot indispensable, l’interdiction de pratiquer faite a certains medecins qui se permettent de rappeler que les vaccins ARN ne sont qu’en phase III experimentale et que des patients doivent en etre avertis pour apporter leur consentement eclaire, nos moqueries et des insultes adressees aux praticiens qui soignent leurs patients avec des traitements immediats minimum couteux – a croire que, pendant des annees, les facultes de medecine ont delivre des titres a des imbeciles, ce qui n’est evidemment jamais a l’ honneur de nos facultes ni susceptible d’asseoir un credibilite. Sans parler de professeurs prestigieux, a l’etranger, qui ont du etre nommes a des postes consequents par des anes pour qu’on doive nos demettre brusquement de leurs fonctions.
Ce lien n’est-il qu’une bisbille financiere entre la Confederation et des cantons ? Cette fois, il convient absolument savoir a quoi s’en tenir ! C’est une question morale. C’est une question vitale.
De deux problemes particuliers du droit d’urgence
Sauf erreur ma part c’est bien la premiere fois que l’on a eu recours au droit d’urgence depuis son introduction dans la constitution federale, respectivement en 1949, 1977 et 1998, au cours une « mise a jour » en constitution federale. Ca peut donc tout i fait expliquer pourquoi la procedure a pu paraitre bizarre. On se trouvait devant 2 difficultes principales dont la portee commode n’avait jamais trop ete envisagee.
- Le referendum concernant une loi urgente n’a jamais un effet suspensif, a la difference du referendum « normal », et cela signifie qu’une loi urgente en vigueur pourra etre modifiee par une nouvelle loi et la modification entrer en vigueur quand bien meme la loi de base reste soumise au referendum et J’ai modification elle-meme a une autre demande de referendum. C’est exactement cela s’est passe avec la loi covid de septembre 2020 et la modification de cette loi en mars 2021. Ca etait extremement embrouillee mais on ne saurait jeter la pierre aux autorites federales, le systeme n’ayant encore jamais ete eprouve. Sans doute faudra-t-il elaborer une procedure particuliere fonctionnement chinalovecupid, comme en prevoyant que l’on ne va jamais modifier une loi urgente, mais qu’il faut elaborer une nouvelle loi, independante une premiere, afin que chacune d’elles forme votre tout autonome. Il est imperatif d’elaborer une procedure speciale concernant le droit d’urgence afin d’eviter nos malentendus et obscurites des cas actuels qui nuisent a la credibilite des autorites sans que l’on puisse pourtant, a ce jour, un en tenir rigueur.
- La seconde difficulte tient au contenu des lois urgentes. Une loi n’est gui?re soumise aux memes exigences d’unite de la matiere que les articles constitutionnels, mais il va i?tre inconcevable de reunir – comme ceci a ete fera – dans une meme loi, des objets aussi multiples que des regles de pure politique sanitaire (vaccination, pass covid, test etc) et des regles de dedommagements economiques du fait d’interdictions etatiques d’exercer une activite. On peut tri?s bien mettre dans une loi de pure politique sanitaire des textes concernant la prise en charge financiere ou le tarifs de tests, de vaccins, de traitements, mais il pourrait etre exclu de melanger des indemnites et compensations professionnelles economiques a des mesures medicales. Ce melange est typiquement celui qui possi?de entache et dur nos choix democratiques en deux votes “covidiens” de juin et septembre, mais a nouveau, il ne s’agit pas de lancer la pierre aux autorites, car le droit d’urgence etait terra incognita.
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